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Un soir d'automne, alors que je m'ennuyais, j'appela un ami proche afin de savoir s'il pouvait passer pour régler un problème d'interrupteur.
- Salut
- SALUT
- comment tu vas ?
- BIEN ET TOI ?
- Moi ca va bien mais j'ai un problème d'interrupteur, toi qui t'y connais tu pourrais passer pour voir ce que c'est ?
- OH OUI, SI JE PEUX T'AIDER, VOLONTIERS, JE PRENDS LE NECESSAIRE LAMPE DE POCHE, TOURNEVIS, ETC ET JE VIENS...
- Ok, je t'attends...
- A TOUTE
- A toute
Je raccrocha le téléphone et l'attendis. Quelques minutes plus tard, on sonne à ma porte, j'ouvre, passe la tête par la porte et fais oui ? coucou t'es là, superbe, et voilà mon dépanneur tout sourire devant mon pas de porte.
J'ouvre plus grand ma porte, et le laisse entrer, et là il me découvre nue, sous ma nuisette transparente...
- OH dit-il ! QUE DE BEAUTE ICI...
Je rougis, et dis merci je suis ravi que ca te plaise....
Et il enchaîne en disant :
- JE PRESUME QUE C'EST UN DE TES INTERRUPTEURS QUI FONCTIONNENT PLUS ?
- Moi oui, je crois que je suis en panne !
- BIEN BIEN, J'AI PRIS MA LAMPE DE POCHE ET J'AI MON OUTILLAGE PERSONNEL, ON VA VOIR CE QUE JE PEUX FAIRE, MAIS AVANT, JE DOIS ME CHANGER, ET ME METTRE EN TENUE DE TRAVAIL...
Il me prend dans ses bras, m'apporte jusqu'à mon lit, allume le lampe de chevet, et dis :
- JE VAIS ME CHANGER
- Moi oui fais seulement, me voilà sur mon lit, tremblante, vibrante, heureuse....
Je le vois revenir, et j'éclate de rire, il a un loup sur le visage et un string éléphant, et la lampe de poche...
Il dit :
- ME VOILA PRÊT POUR TROUVER CETTE FOUTUE PANNE...
Et il sourit.. Il passe près de moi, éteint la lampe de chevet, écarte mes jambes et se glisse sous ma nuisette, je vois le faisceau de la lampe se poser sur mon minou, et j'en tremble de plaisir, il se glisse plus haut, se dirige vers ma poitrine, je vois le faisceau de lumière et la bosse de sa tête, je sens son souffle sur mon ventre, et contre ma cuisse M. éléphant qui est joyeux, cela fait me fait envahir de plaisir, de joie, j'en perds la tête, j'ai les mamelons qui se dresse à en exploser et je sens sa douce langue qui me titille les tétons l'un après l'autre et toujours cette ambiance magique avec la lampe de poche, c'est féerique, beau, doux, tendre, que je me libère, je me détends et m'offre à lui, à ses caresses, à sa langue qui descend vers mon nombril, et vers mon bouton de rose, je sens son nez, se frotter contre lui, et des bisous qui font une farandole autour de ma vulve, et revoilà la lampe de poche qui scintille, et je sens sa langue sur mon bouton de rose, et il le titille, l'aspire, le titille, l'aspire, je me tortille comme une anguille et il reste et savoure mon bouton, de plus en plus en m'en faire jouir de plaisir......
Après un bel instant d'amour, il me dit en souriant et me tenant tendrement dans ses bras, je pense que la panne à été réparée, nous nous sourions, et nous avons dormis dans les bras l'un de l'autre tendrement.......
Et chaque fois que je me sens triste, je me rappelle ce doux instant de folie, et me dis... Dommage il est marié maintenant, quelle chance elle a sa femme.......
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Je nous revois déambulant dans les quartiers de Paris, il faisait très chaud, une chaleur d'été, nous évitions le soleil à l'ombre des bâtisses. Après quelques heures de marches, nous étions quelques peu harassés, tu m'a proposé de faire un détour dans un parc, histoire de ce rafraîchir. Nous nous somme retrouvés devant le parc monceau, une file de parents attendant impatiemment cette glace que leurs réclamaient leurs bambins. Après quelques minutes ce fut notre tour, enfin de nous désaltérer.
Nous avons emprunté le pont de pierre, qui enjambe ce petit cour d'eau, pour atteindre ainsi rapidement les pelouses, non loin de nous un petit chemin, que nous avions décidé de prendre, pas très loin de là, à l'écart des gens, un banc nu et libre, et pour combler le tout, il était à l'ombre.
Nous voici affalés, moi assis et toi allongée, la tête posées sur mes cuisses, j'écoutais ton souffle, je regardais des cheveux flotter au vent, plus rien n'avait d'importances. Après quelques minutes, j'avais constaté que tes légers mouvements de tête, avaient provoqué en moi quelques remues ménage.
La tension qui montait en moi, ne te laissa pas indifférente. Tu posa ta main bien à plat à cet endroit, ton regard jeté sur moi, en disait long sur tes intentions.
Tu te frottais doucement sur lui, et te positionna sur le côté, de mon côté, tes doigts ex pères venaient de retirer un à un les boutons de mon pantalon, pour faire sortir doucement mon gland. Je ne savais si je devais succomber, ou bien lutter. Pas âme qui vivent, nous étions seuls. Et puis il faut avouer, tu ne m'avais pas laissé le choix. Tu t'étais installées à ton aise, ton visage masqué par ton avant bras, voulant faire croire que tu te protégeais de la lumière, mais en dessous c'était tout autre chose, ta langue léchait, titillait mon sexe. A petit coups tu l'excitais, l'envie ne faisait que de monter. Tu le contournais, le touchais du bout des lèvres, pour l'aspirer, le mordiller, le sucer. Je te retenais, et toi de me voir ainsi, cela t'amusais.
Tu t'es mise debout, pour m'enjamber, puis à califourchon, soulevant ta robe pour ne rien laisser entrapercevoir, la température monta d'un cran, ta langue rencontra la mienne. Tu glissa ta main sous les pans de ta robe, pour mettre de côté le devant ta culotte, pour enfin saisir mon membre viril et tendu. Tu t'étais soulevée doucement, mais habilement et dans ton antre tel un bon pain tu l'enfournas.
Texte: Ma colombe
Image: Internet
Coloriage: Lupinlapin
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